Il y a 70 ans, il y avait un avion dans les airs, en route pour Paris, Cela fera demain 7 décennies qu’un avion d’ Air Canada atterrissait sur Paris en provenance initiale de Montréal .
Le 1er avril 1951, un quadrimoteur North Star de 40 places, construit par Canadair et immatriculé CF-TFO, exploité par les Lignes aériennes Trans-Canada — maintenant Air Canada — se posait pour la toute première fois à l’aéroport d’Orly, en banlieue de Paris. C’était bien entendu pour une minorité, des gens riches et célèbres, faudra attendre les années 80 pour que l’Europe soit à la portée de tous et chacun et encore .
Comportant initialement une escale à Londres, la liaison hebdomadaire Montréal–Paris est rapidement devenue sans escale vu son succès. La ligne Montréal–Paris relie les aéroports Montréal-Trudeau et Roissy-Charles de Gaulle chaque jour de l’année. Deux vols quotidiens sont inscrits à l’horaire normal d’été et un vol quotidien à celui d’hiver.
Des appareils 777-300ER de Boeing (450 sièges), A330-300 d’Airbus (297 sièges) ou 787-9 Dreamliner de Boeing (298 sièges) sont affectés aux vols d’Air Canada et les clients peuvent choisir parmi trois classes de service : le service Signature Air Canada, la cabine Économique Privilège et la cabine d’économique.
Ce 70e anniversaire témoigne de la relation privilégiée et durable qui existe entre les deux villes, une longue histoire de complicité et de coopération. Ce service transatlantique affiche la plus importante demande en provenance du Canada et représente l’un des plus précieux fleurons d’Air Canada. En dépit des défis liés à la crise de la COVID-19, nous n’avons d’ailleurs jamais suspendu notre liaison Montréal–Paris durant la pandémie, et nous n’avons qu’un seul désir, soit celui de rétablir la présence d’Air Canada dans les autres villes françaises que nous desservions avant la crise, afin de continuer à renforcer les liens qui nous unissent. »
Malheureusement la France est reconfinée, notre neveu qui avait un contrat de 5 ans sur place, qui a débuté en 2019 commence à être un peu tanné, il ne peut pas travailler et trouve le temps un peu long. C’était son dernier contrat avant sa retraite, il se demande s’il ne la prendra pas plus vite. Le vol devait sans doute durer une bonne douzaine d’heures avec une escale à Gander, Terre-Neuve.
Depuis 70 ans, le transporteur à la feuille d’érable n’a cessé d’intensifier sa présence en France et dans les Antilles françaises et d’accroître son engagement sur le territoire français. En effet, avant la pandémie, Air Canada desservait sept villes françaises : Paris, Bordeaux, Lyon, Marseille et Nice ainsi que Fort-de-France et Pointe-à-Pitre dans les Antilles. La Société exploitait jusqu’à 45 vols hebdomadaires à partir de ses plaques tournantes de Montréal, Toronto et Vancouver, d’où elle offrait des correspondances à destination de plus de 50 villes du continent américain.
La photo montage vient de leur service médias, dommage que la pandémie nous empêche d’y repasser pour le moment.
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