Les spécialistes sont unanimes : chaque décennie a ses plaisirs. En adoptant les bons réflexes, le temps qui passe n’est plus vécu comme une fatalité. La preuve. Aujourd’hui, cap sur 50 ans, l’amour de soi et le temps qui nous est offert.
On ose la médecine esthétique. Oui, car sans excès, on peut redonner à son visage les expressions qui lui vont le mieux. « A partir de 45 ans, les femmes savent ce qu’elles veulent, elles sont raisonnables et raisonnées« , confirme Valérie Leduc. Ses traitements de choix : du Botox pour gommer la ride du lion qui donne l’air sévère et/ou de l’acide hyaluronique volumateur, comme Emervel de Galderma, pour bomber une pommette, injecté avec un ancrage lift grâce à un point d’accroche sur chaque tempe.
On culpabilise moins. Avec des enfants plus grands, voire déjà partis, on ne se tracasse pas parce qu’on a été au sport plutôt que de préparer le dîner. On s’autorise même un après-midi au hammam, voire une thalasso entre copines. « Parce que l’on vit enfin pour soi, sans culpabiliser, notre beauté se fait plus sereine. On perd l’air conquérant de la décennie précédente pour une énergie tranquille qui s’affiche aussi sur le visage« , se réjouit Isabelle Benoit. Une lumière intérieure à cultiver en utilisant son temps pour prendre soin de soi.
On a de belles jambes. La preuve ? Brigitte Macron. « A la ménopause, les hormones mâles sont plus nombreuses et l’on stocke plutôt au-dessus de la ceinture« , commente Valérie Leduc. Une bonne nouvelle pour toutes les victimes de la culotte de cheval qui voient leurs jambes s’affiner pour la première fois depuis l’adolescence et une grande partie de la cellulite qui les complexe disparaître. Une tendance à confirmer avec un peu de sport. Marche, natation, voire de l’aquabike sculptent cette nouvelle paire de gambettes. Quant aux veines qui vous éloignent des minijupes, pulvérisez-les en cabinet avec de la sclérose. L’idée ? Dessécher les veines malades afin qu’elles s’auto-éliminent. Valérie Leduc fait suivre le traitement d’un massage aux huiles essentielles, qui sauve des hématomes.
On a plus de temps. Installée dans son job et libérée d’une partie des contraintes parentales, la cinquantaine s’annonce plus cool. Accordez quelques minutes de cet emploi du temps allégé à la gymnastique faciale (La Gymnastique faciale, de Catherine Pez, Les Editions de L’Homme) qui prévient efficacement la gravité cutanée. « Les muscles faciaux et le derme sont connectés. Faire travailler les muscles stimule l’ancrage de la peau, prévient le relâchement et booste la production de fibroblastes« , précise Nathalie Broussard.
On affiche une jolie peau. Avec la ménopause, c’est fini, elle ne sera plus jamais grasse. En revanche, elle risque d’avoir besoin d’un petit supplément de confort. Autre atout de l’âge, vous sortez de la zone sensible. « Les capteurs cutanés sont moins réactifs, donc la peau ne s’affole plus à la moindre stimulation« , garantit Nathalie Broussard. A vous les soins anti-âge costauds à base d’AHA et de rétinol qui vous transformaient en tomate très cuite à la décennie précédente.
On est bien coiffée. Oui, on a des cheveux blancs. Mais parce qu’il faut les couvrir, on passe son temps chez le coloriste. Vous ne voyez toujours pas l’avantage ? « Avec les clientes régulières, on peut faire un travail d’orfèvre. A chaque saison, on retouche le reflet : pointes plus claires à la fin de l’été, repigmentation en automne« , précise Marisol. En bonus : une coloration travaillée sur mesure et des soins personnalisés.
On mange moins. En tout cas, on a moins faim. Alors, écoutons-nous pour garder la ligne et la santé. « En baissant son apport en calories de 30 %, on augmente de 20 % l’espérance de vie« , assure Aude Senez. Ça laisse rêveur. C’est le bon moment pour se lancer, puisque notre activité physique baisse aussi naturellement. Les réflexes qui aident : servir le dîner dans des assiettes à dessert, poser la fourchette entre chaque bouchée et les mastiquer dix fois chacune. « Attention à consommer suffisamment de protéines pour préserver la masse musculaire« , avertit-elle.
On s’aime un peu plus. « A partir de 50 ans, on ne cherche plus à faire beaucoup moins de son âge, mais plutôt à être bien dans sa décennie« , avance Carole Colombani. C’est le moment de se faire plaisir avec des fards adaptés, à puiser dans les marques qui allient maquillage et soin, comme Sisley, Clarins ou ByTerry. Sur sa liste : un fond de teint riche et opulent, un quatuor chaleureux pour les yeux et un rouge nude glowy. « A celles qui ne sont pas sûres de leur parfaite palette, je recommande une consultation make-up« , continue-t-elle. Croyez-nous, après une heure chez Bobbi Brown, vous saurez exactement quelle teinte de beige vous va le mieux.
Source : www.grazia.fr
C’est plus un truc de publicité votre beauté à 50 ans. Encouragez le traitement par médecine esthétique, etc. C’est n’importe quoi….
il en faut pour tous les goûts et ce n’est pas à personne de juger ce qui est bon pour l’un ou mauvais pour l’autre.