On ne peut plus nier les effets du réchauffement de la planète que ce soit les pluies torrentielles en Espagne, les ouragans en Floride ou les feux de forêt au Canada et autres colères de la terre. Notre belle planète, de plus en plus fragile, se réchauffe un peu trop. Que pouvons-nous faire pour aider et ralentir un peu les effets?
En toutes saisons, et en tout temps, il est impératif de cesser de considérer la Terre comme une poubelle et de penser aux générations futures. Les reportages abondent, mettant en évidence les déchets de toutes sortes le long des routes et dans nos parcs. Des entreprises s’activent pour ramasser des centaines de sacs. Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes dans 193 pays passent à l’action chaque année dans le cadre du Jour de la Terre.
LE FILM LA FAMILLE DE LA FORÊT : À VOIR
Le documentaire québécois « La famille de la forêt », réalisé par Laura Rietveld et produit par Katarina Soukup – Catbird Productions 2, Inc., est encore sur le web. Ce film de 85 minutes met en lumière l’histoire de Gérard et Catherine, qui ont fait le sacrifice de leur famille, de leurs amis et de leur pays natal, la Belgique, pour vivre en autarcie dans la forêt boréale de la Gaspésie, au Québec. Quinze ans plus tard, alors que leurs trois fils deviennent de jeunes adultes, l’avenir de cette vie exceptionnelle qu’ils ont choisie est remis en question. Le film est sorti le 22 au cinéma, mais il est également annoncé qu’il peut être visionné en ligne, bien que cela semble rencontrer des difficultés. Laura Rietveld est une écrivaine documentaire émergente et réalisatrice, lauréate du Prix du Conseil des arts et des lettres du Québec – Œuvre d’un artiste émergent à Montréal en 2015. Son travail, traitant de thèmes tels que l’identité, la famille et le lien entre l’humain et la nature, a été publié en anglais, en inuktitut et en français.
MAIS COMMENT FAIRE NOTRE PART ?
Selon l’organisation des Nations Unies, voici des idées pour aider la terre.
-Économiser l’énergie à la maison.
-Modifiez la source d’énergie de votre maison au besoin.
-Marchez, faites du vélo ou prenez les transports publics.
-Réfléchissez à vos déplacements. Évitez les heures de pointe .
-Recyclez tout ce que vous pouvez
-Les vélos en libre service seront plus nombreux pendant la saison froide, avec le réchauffement on peut pratiquement les utiliser toute l’année
Pour aller au-delà des conseils de base de l’ONU, voici quelques idées plus poussées qui pourraient être intéressantes :
1-Soutenir l’agriculture régénérative : Investir dans des produits issus de l’agriculture régénérative, qui améliore la qualité des sols, stocke davantage de carbone et soutient la biodiversité.
2-Développer des potagers urbains et collectifs : Encourager les jardins urbains et les fermes verticales pour fournir des fruits et légumes locaux tout en réduisant les émissions liées au transport.
3-Adopter une alimentation durable : Réduire la consommation de viande et de produits ultra-transformés au profit d’alternatives locales et végétales, et privilégier les produits de saison pour limiter l’empreinte carbone.
4-Réduire les déchets de construction : Promouvoir le recyclage et la réutilisation des matériaux de construction pour éviter le gaspillage dans les rénovations ou les nouvelles constructions.
5-Appuyer des énergies locales : Au lieu de changer simplement de source d’énergie, participer activement à des initiatives d’énergie solaire, éolienne ou géothermique communautaires.
6-Militer pour la justice climatique : S’engager auprès d’organisations qui luttent pour les droits des communautés les plus touchées par le changement climatique, souvent les moins responsables des émissions de CO₂.
7-Encourager les entreprises responsables : Acheter auprès d’entreprises qui suivent des pratiques de développement durable, ce qui incite les autres à adopter des pratiques plus respectueuses de l’environnement.
8-Réduire sa consommation numérique : Le streaming, les envois de courriels et le stockage dans le cloud consomment énormément d’énergie. Privilégier des pratiques numériques sobres, comme le téléchargement de films ou la suppression de vieux courriels.
Ces actions sont certes plus engageantes, mais elles peuvent avoir un impact plus significatif sur la protection de notre planète, À NOUS D’Y VOIR !
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