Les urgences débordent de cas de gastro-entérite, ou « gastro », qui touche chaque année un grand nombre de personnes, surtout en hiver, où les virus comme le norovirus se propagent rapidement.
Bien que souvent bénigne, cette infection peut être particulièrement incommodante et nécessite une gestion adéquate pour favoriser un rétablissement rapide et éviter la contagion. Cela est d’autant plus important pour les populations vulnérables, comme les personnes de 60 ans et plus, pour qui les impacts peuvent être plus graves.
Protéger les autres et se soigner intelligemment
On ne vous apprend rien en disant que dès l’apparition des symptômes – nausées, vomissements, diarrhées, fièvre – il est essentiel de rester chez soi. Et se rendre à l’hôpital pour une gastro non compliquée risque d’exposer d’autres personnes à la contamination et engorger les hôpitaux déjà bondés. Cependant, si les symptômes persistent ou concernent des enfants, des personnes âgées ou fragiles, il est conseillé de consulter.
Quoi faire pendant ?
Pendant une gastro-entérite, la priorité en général est de ne rien manger durant 24 heures. Car le virus se nourrit de tout ce que vous absorbez, même boire de l’eau. Donc juste dormir, pas facile, mais efficace. Après 24 h, souvent la bête s’est affamée et meurt. Les gravol peuvent être une solution qui calme le péristaltisme de l’intestin, donc le crampes. Toutefois, s’il y a eu beaucoup de vomissements et diarrhées qui ont entraîné une perte rapide de liquides et d’électrolytes, cela provoquer une déshydratation, particulièrement préoccupante chez les personnes âgées. Important de consulter alors ou juste de se déshydrater.
Pourquoi la gastro-entérite est plus délicate après 50 ans ?
Si la gastro-entérite peut toucher tous les âges, ses effets sont souvent plus intenses chez les personnes de 50 ans et plus. Plusieurs facteurs amplifient les risques :
- Risque accru de déshydratation : Avec l’âge, le corps contient moins d’eau, augmentant la vulnérabilité face aux pertes hydriques.
- Affaiblissement du système immunitaire : Le vieillissement réduit l’efficacité des défenses naturelles du corps, rendant plus difficile la lutte contre l’infection.
- Problèmes digestifs préexistants : Les modifications du microbiote intestinal ou la diminution des enzymes digestives aggravent souvent les symptômes.
- Effets secondaires des médicaments : Certains traitements courants chez les aînés peuvent aggraver les déséquilibres électrolytiques.
- Fragilité générale : Les personnes âgées sont plus sujettes à des complications secondaires comme des infections urinaires ou une fatigue intense.
Quoi faire après : les probiotiques, des alliés pour mieux se rétablir
Avant tout, il importe de recommencer à manger doucement et se réhydrater. Mais les probiotiques jouent un rôle clé dans la récupération. Ces microorganismes vivants rééquilibrent le microbiote intestinal perturbé, renforcent la barrière intestinale et atténuent les symptômes. En les introduisant dès les premiers signes ou après, vous soutenez naturellement votre système digestif. En plus d’accélérer la récupération, ils contribuent à renforcer l’immunité et à prévenir les récidives. Mais important d’acheter de bonnes probiotiques. La marque Probaclac compte plus de 7 milliards de souches. Celles-ci sont en vente dans les pharmacies, sont sans allergènes, sans gluten, sans soya et sans protéines laitières.
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Bien que temporaire, la gastro-entérite est éprouvante. En prenant des mesures simples et adaptées, il est possible de réduire son impact tout en rétablissant sa santé digestive, bien qu’il soit important de continuer à prendre des probiotiques par la suite.