La situation devient de plus en plus préoccupante. Beaucoup de gens changent leurs plans journaliers surtout d’activités touristiques avec les caprices de Dame Nature.
Depuis la fin de la pandémie, les annulations liées à la météo ont fait mal à l’industrie touristique, le temps des fêtes qui arrive aura de la neige espérons sinon cela causera encore bien des soucis et des manques de revenus. Les gens en plus n’avertissent pas. Tout au long de l’année, on se retrouve ici et ailleurs avec des chaleurs extrêmes, des pluies torrentielles, des feux, des ouragans, cela change parfois les plans mais la plupart du temps, on peut 9 fois sur 10 faire tout sans problème .
Une question de perception et de bonnes données. Car plusieurs ont des données météo peu fiables avec des applications et des radios qui disent n’importe quoi nous disait la météorologue Colette Provencher avec son collègue Pascal Yiacouvakis. Quand on dit 30% de chances de pluie, c’est beau. Les prévisions sont bonnes pour plusieurs jours la plupart du temps, et 65% sur trois mois avec les ordis, les satellites etc..
Un colloque était organisé en début de semaine à St-Sauveur dans la salle Everest, le lien doit être que certains voient cela comme un m0ontagne quand il ne fait pas beau et j’étais un des invités. Notre génération pourtant allait jouer dehors qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, on disait nous ne sommes pas fait en chocolat. Malheureusement parfois cela ne peut pas avoir lieu, comme la récente coupe du monde de Tremblay faute de neige. Seulement 6% des gens changent leurs plans dans les grands voyages mais 80% selon un sondage changent pour le journée de sport ou de détente quand les prévisions ne semblent pas bonnes. Cela donne du gaspillage de ressources alimentaires et humaines. Les entreprises doivent parfois être pro-actives ,donner des billets de pluie comme au baseball. Une tarification dynamique qui dit par exemple une rabais en cas de mauvais temps.
Une donnée de la même journée parlait de gens qui avec le réchauffement seront aux prises avec des terres arides d’ici un siècle, des milliards de personnes cela est plus grave. Au Québec pour le moment , nous avons encore les bons côtés du réchauffement climatique. La charmante ministre du tourisme, cela fait deux rencontres avec elle récemment, est venue annoncer une aide pour aider l’industrie. Il faut aussi de plus en plus un plan 4 saisons autant que faire se peut pour l’industrie touristique. Une bonne journée de réseautage avec les ATR et les attractions et les gens du métier en collaboration avec l’alliance des centres de ski.
