La dysmorphie financière augmente
- André Maccabée
- 7 avr.
- 2 min de lecture
La dysmorphie financière augmente partout avec Trump . Toutes les générations y compris le 3e âge est atteint de dysmorphie financière, un trouble qui a des graves impacts sur la santé, et qui il y a une décennie touchait la génération Z et les Milléniaux .
C’est plus qu’un manque de lucidité car avec ce qui vient de se passer en bourses , des millions de personnes de 20 ans et plus se demandent si leur situation économique n’est pas en chute libre et quel sort les attend . Tout est devenu relatif. Combien doit-on recevoir par année pour bien vivre ?
Les gens qui travaillent se demandent parfois si le 100,000$ est suffisant, tout est encore relatif, est-ce que votre maison est payée ? Votre automobile ? Vos cartes de crédit ? Vos meubles ?
Certains doivent encore payer passé 60ans des pensions alimentaires pour leurs enfants. Nous en connaissons.
Amélie fait partie de la génération des (nés entre 1980 et 1990). 41% souffrent de dysmorphie et sont peu optimistes face à l’avenir si Trump continue. Faut dire que comme le reste, la maladie mentale et bien d’autres maux, c’est largement alimentée par les réseaux (Fléaux sociaux) .
Les supposés influenceurs tentent de vous faire acheter plein de choses inutiles sinon vous ne serez pas heureux, ils sont payés pour cela. Certains veulent aussi devenir vite millionnaires et se font prendre comme avec les monnaies virtuelles.
Il faut aussi dire que travailler 35 ans à la même place , cela devient de plus en plus rare. Ajoutez les coûts exorbitants du logement et de la garde d'enfant et les 23% d’augmentation récente de l’épicerie et le panier est plein.D’autres sont des adeptes de la simplicité volontaire, vivent en campagne, et tentent l’auto-suffisance. Ils travaillent pour vivre et non vivre pour travailler.
C e lien du début de 2017 nous en parlait, espérons que leurs chiffres se maintiennent.
Nous en avions parlés il y a environ une année mais avec Trump tout s’aggrave mondialement :
André Maccabée et nos conseillers financiers.
Comments