Nous voulons de plus en plus acheter local, ne pas encourager notre voisin du sud et certains pays asiatiques qui exploitent les humains et qui causent bien de la pollution et des GES. Depuis des décennies, le monde est vu comme un grand village où réside l'ensemble des habitants de la Terre, les frontières étant abolies et les différences culturelles moins marquées, en raison des moyens de communication existants qui permettent des échanges instantanés à l'échelle de la planète.
Le concept de « village planétaire » est issu des théories de Marshall McLuhan. Cela date de l’année de l’expo, 1967. Mis de l'avant au moment où se sont généralisés les moyens électroniques de communication et la communication de masse, il est repris, aujourd'hui, en relation avec le cyberespace et en raison de la popularité grandissante d'Internet et de l'impact du réseau sur le plan social.
Le Québec a des chiffres qui frappent l’imaginaire dans le nombre de pays de provenance de nos produits courants, un exemple percutant la SAQ qui a des produits de 79 pays du monde, faut lire ce lien pour tout savoir : https://www.saq.com/fr/prix-des-produits
En épicerie grande surface ou petite, c’est aussi vertigineux, il y a les fruits et les légumes , on suit les saisons , en hiver on a des provenances de l’autre côté de l’Équateur , vu que les saisons sont inversées.
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Le monde à l’envers
Dans les épiceries de liquidation c’est le monde inversé, dernièrement nous avons achetés des croustilles style portion avion, 4 pour 2,00$. Provenance Algérie. Du savon, 3 barres pour le même prix, en provenance de Turquie. Nous regardons toujours la provenance en tout, pour sauver sur le prix et surtout préserver la planète. Avec ce qui se passe nous tentons d’acheter québécois mais parfois c’est impossible comme dans l’huile d’olive et certains fruits.
La photo provient de ce lien qui nous fait aussi réfléchir :
André Maccabée
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