Elle est multiple, et nous la suivons depuis des décennies. Voici un résumé de sa présentation du théâtre Denise Pelletier. Auteure et comédienne. Elle aborde l’écriture dramatique comme un laboratoire de recherche, un atelier de fabrication d’où elle tire une partition destinée au plateau, un texte écrit pour traverser le corps des acteurs et parfois des lecteurs et lectrices.
Résumé du livre qui a 17 nouvelles . 
À table, devant les invités, une enfant anxieuse essaie de ne pas mordre son verre de cristal. Un homme rêve de prendre racine au milieu du trottoir. Pour se soustraire aux regards, une femme se terre dans des maisons inhabitées.. Les histoires se répondent, s’immiscent les unes dans les autres, elles se déploient en un souffle soutenu. Si les circonstances changent, le mouvement est le même, creusant notre quête d’existence, notre besoin d’amour et les discours intérieurs que nous échafaudons pour calmer notre conscience.. Ces fables amorales, peuplées de personnages à la fois déçus et désirants, lucides et aveuglés, nous tendent un miroir tranchant.. Écrivaine et comédienne, Evelyne de la Chenelière est une figure incontournable de la dramaturgie contemporaine. Passant avec grâce du théâtre à la fiction, elle poursuit avec Les traits difficiles son exploration de l’impossible coïncidence entre l’expérience humaine et la parole..
Un portrait fascinant qui revient sur plusieurs époques de sa vie, sinon de la vie du monde, enfant, adulte, de femmes seules , un regard sur soi et les autres. Pour lire sur elle : https://www.denise-pelletier.qc.ca/biographies/evelyne-de-la-cheneliere/-La photo est signé Catherine de la Chenelière et vient du lien.
Lire une nouvelle par jour peut être intéressant. Pour ce livre , c’est aux éditions aux Herbes rouges : https://www.leslibraires.ca/livres/les-traits-difficiles-evelyne-de-la-cheneliere
Au théâtre en deux langues
Si vous consultez les cahiers culturels, elle est souvent jouée dans nos deux langues au théâtre. Le Centaur présentera une fantaisie musicale en janvier sur les fraises en janvier.
Amélie Lacroix-Maccabée
